Tous les articles ..

Le Normand de Mézières, le Louis XV d’Eaubonne et l’architecte Ledoux, constructeur du Roi.

À la fin du XVIIe siècle, Eaubonne est divisée en multiples territoires, dont seul émerge le fief de la Cour Charles qui est le siège de la Seigneurie d’Eaubonne. En faisant l’acquisition de cette dernière, Joseph-Florent Le Normand de Mézières va se trouver, dans la deuxième partie du XVIIIe siècle, à la tête de la presque totalité du territoire d’Eaubonne. Il…

. . . Le Normand de Mézières, le Louis XV d’Eaubonne et l’architecte Ledoux, constructeur du Roi.

Forum des associations

Le cercle historique d’Eaubonne était présent au forum des associations le 7 septembre au Luat. Nous avons eu le plaisir de recevoir la visite de Madame Naïma Moutchou, Vice-présidente de l’Assemblée nationale et députée du Val d’Oise, qui s’est montrée très intéressée par notre action. Elle connaissait bien Monsieur Hervé Collet et l’appréciait beaucoup. »

. . . Forum des associations

Les anciens pavillons de garde, appelés aujourd’hui « de Mézières »

Pour rappel également : vers 1773, le dernier seigneur d’Eaubonne, Joseph-Florent Le Normand de Mézières a bâti un « nouveau village », avec le concours de l’architecte Ledoux, de part et d’autre de la « Rue de Limoges », qui est devenue au fil des temps « Avenue de l’Europe ». Les bâtiments qui longent cette voie datent de cette époque…

. . . Les anciens pavillons de garde, appelés aujourd’hui « de Mézières »

Les premiers temps d’Eaubonne

Le nom du terroir d’Eaubonne est mentionné pour la première fois dans une charte du roi Dagobert du 1er août 635, signée à Clichy, qui donne à l’abbaye de Saint-Denis son domaine d’Aquaputa : « Donamus ad monasterium sancti dionysii … villam quae vocatur Aquaputa, sita in pago parisiaco ». Aqua puta (en un ou deux mots) est en effet le…

. . . Les premiers temps d’Eaubonne

Laure de Bonneuil, épouse Regnaud de Saint-Jean d’Angély

et son salon politique et littéraire ….Aux XVIIIème et XIXème siècles, les épouses des dignitaires de l’État ont du mal à mener une vie sociale autonome par rapport à leur « éminent » conjoint. Les historiens de l’époque, quand ils consentent à leur consacrer une notice spécifique, les présentent souvent comme « dévouées », précieuses « auxiliaires » de la carrière de…

. . . Laure de Bonneuil, épouse Regnaud de Saint-Jean d’Angély

Louise Andryane (1810-1887), épouse Denis Tarbé des Sablons

… compositrice et traductrice Louise Tarbé des Sablons, après avoir très probablement fréquenté dès sa naissance en 1810 le Petit-Château, dans l’entourage de son oncle Eugène Merlin de Douai et de la famille Gohier, a séjourné à partir de 1842 au Pavillon italien, et depuis 1854 au Petit-Château jusqu’à son décès en 1887. Une musicienne parisienne devenue eaubonnaise par mariage Louise…

. . . Louise Andryane (1810-1887), épouse Denis Tarbé des Sablons

L’église Sainte-Marie

La petite église rustique Sainte-Marie d’Eaubonne est une des plus anciennes et des plus typiques de la Vallée de Montmorency. L’intérieur de l’église Le chœur, voûté de deux travées d’ogives, s’éclaire d’un autel avec un retable blanc et or, encadrant une Assomption qui contraste avec la boiserie de chêne sombre et quelques stalles bien simples d’église de village.
 Aujourd’hui subsistent deux…

. . . L’église Sainte-Marie

La tour néogothique de l’avenue Madame d’Houdetot

Eaubonne, ville de brique : La tour néogothique de l’avenue Madame d’Houdetot Un des édifices les plus représentatifs de l’utilisation de la brique à titre de parement est cette « tour », que l’on peut admirer au n° 20 de l’avenue de Mme d’Houdetot (voie qui n’existait pas à l’époque). Elle a soulevé bien des interrogations parmi la population d’Eaubonne depuis…

. . . La tour néogothique de l’avenue Madame d’Houdetot

La chaussée Jules Cesar

 Le territoire d’Eaubonne est traversé par l’antique chaussée Jules César qui, venant de Lugdunum (Lyon), allait ensuite de Lutecia (Paris) à Rotomagus (Rouen) puis à Juliobona (Lillebonne) et Honfleur, au bord de la Manche, mais rien n’indique qu’il ait été habité à l’époque gallo-romaine. Jusqu’à nos jours, les recherches archéologiques d’époque gallo-romaine sur le tracé de cette voie romaine se limitent…

. . . La chaussée Jules Cesar